On a dit combien certains articles relatifs au projet de la Samaritaine étaient outranciers, et notamment la chronique de Philippe Trétiack dans Beaux-Arts Magazine d’août 2014, excès qui contrastent avec les dispositions mesurées du PLU de Paris : bâtir sans pastiche ni ruptures, c’est-à-dire avec des éléments de continuité.
Certains médias ont souligné ce déséquilibre de traitement, à commencer par La Tribune de l’Art, dans un article intitulé"La Samaritaine : une question architecturale ou de liberté de la presse ?", Arrêt sur images dans un texte titré "La Samaritaine : les médias au diapason de LVMH" ou Archicool dans un éditorial intitulé "Samaritaine : la vulgarité de la façade logo à tout prix ne doit pas passer pour un progrès urbain".
Des lecteurs écrivent également aux journaux concernés. On se souvient du curieux amalgame fait, dans le numéro précité de Beaux-Arts Magazine, entre l’action de notre association, les opposants au travail dominical, la "fermeture aux autres", la "réaction", la "xénophobie", voire le "fascisme", le tout assorti d’un reportage célébrant les productions du malletier Louis Vuitton...
Une lectrice se désabonne à cette occasion et s’en explique :
Beaux-Arts Magazine n°363, septembre 2014, p. 142.
Vérification faite, cette ancienne lectrice de Beaux-Arts Magazine n’est pas adhérente à la SPPEF.